De la diversité émane une incroyable richesse. Aller à la rencontre de l’Autre permet de repousser la crainte et l’incompréhension. C’est pour cette raison que le Centre Avec travaille quotidiennement à favoriser l’ouverture, la rencontre et le dialogue entre tous. Il milite également pour une société accueillante et solidaire dans les réponses aux enjeux migratoires internationaux.
Le 30 août 2023, Nicole de Moor, Secrétaire d’État à l’Asile et la Migration, annonçait avoir donné instruction à son administration de ne plus recevoir dans le réseau Fedasil les hommes seuls qui introduisent une demande d’asile en Belgique, et cela jusqu’à nouvel ordre. Une décision qui entérine un état de fait qui dure depuis de longs mois. Une décision en totale infraction avec le droit international et le droit belge qui prévoit que toute personne demandant l’asile doit se voir proposer un accueil dans la dignité. Une décision qui a été logiquement suspendue par le Conseil d’État une quinzaine de jours plus tard.
Face à cette guerre impitoyable, serions-nous tentés de détourner le regard ?
Tétanisée, l’Europe se cherche une position commune, sans y parvenir. Pourtant, les garde-fous du droit international sautent l’un après l’autre. Assisterions-nous à la mort du droit international ?
Á l’occasion de l’Harmony Week 2025 à Bruxelles, Pousuivre, le Centre Avec et El Kalima, organisent une conférenc-débat avec Omero Marongiu-Perria.
A partir de la rentrée de septembre 2022, et jusqu’au mois de juillet 2023, le Centre Avec accueille et accompagne le philosophe franco-algérien Mohammed Taleb pour un cycle de réflexion qui approfondit les raisons de l’engagement social et écologique. Mohammed Taleb est l’auteur des différents livres, dont « L’écologie vue du Sud – Pour un anticapitalisme éthique, culturel et spirituel » (Ed. Sang de la terre, 2014) et « Les routes et lieux-dits de l’â me du monde » (Ed. Entrelacs, 2019).
Des voisin.ine.s des demandeurs d’asile qui logent sous tentes, sur le pont du Petit Château, ont prit l’initiative d’organiser un week-end de mobilisation ces 4 et 5 février pour exiger des solutions à la « crise » de l’accueil.
Les termes du débat sont désormais bien établis (et largement documentés) : dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, pollutions diverses, croissance des inégalités, menaces sur la démocratie et le vivre ensemble… Si nous souhaitons affronter sérieusement les grands défis de notre époque, il nous faut opérer des choix fondamentaux à tous les niveaux : du local au global, de l’individuel au collectif, des comportements aux structures. Or, nous le savons bien : choisir, c’est renoncer. Mais à quoi, pour quoi et comment ? À l’issue de ce dossier, tentons de mettre en lumière quelques points essentiels autour de la notion de renoncement.
Une coalition d’associations de la société civile demande avec urgence à l’Etat belge de reconnaitre l’ État palestinien, avant les élections du 9 juin 2024. Cette reconnaissance appuie le droit à l’autodétermination du peuple palestinien.